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Yaacov Gibstein dit AGAM est un plasticien israélien né à Rishon LeZion le 11 mai 1928.
Il a commencé à vivre en France à partir de 1951, c'est une figure de l’art cinétique. Le travail d’Agam se caractérise par un mouvement porté par le point de vue du spectateur qui se déplace aléatoirement. Il étudie, en premier lieu, à Jérusalem à l’École Bezalel de 1946 à 1948 qui est dirigée par Mordecai. Cette formation lui offre d’approfondir la théorie de la couleur et les principes du constructivisme. Conjointement, il est graphiste dans quelques agences de publicité.
Sur la route des États-Unis, il est parti étudier à l’Illinois Institute of Technology.
Agam s'installe à Paris en novembre 1951, il s'intèrresse à l’art cinétique. Il suit des cours à l’atelier d’art abstrait animé par Jean Dewasne et rencontre Fernand Léger et Auguste Herbin.
Il réalise en 1953, pour la première fois une exposition seul, "Tableaux transformables", il expose un travail avec une certaine référence au judaïsme. Il impressionne à la 1ère exposition internationale d’art cinétique à la galerie Denise René, à Paris, en 1955. Ainsi, André Breton qui décide des titres de ses œuvres. Depuis 1974, il réalise des peintures mais également des sculptures, des monuments, des architectures, ou des vidéos, médium. Contrairement aux œuvres réalisées par des artistes cinétiques dont le mouvement est souvent créé par des éléments en mouvement dans l’œuvre, les siennes obtiennent cet effet par le mouvement de l'observateur par rapport à l’œuvre. L’artiste souhaite, de cette façon, donner une nouvelle mission au public et apporter de l'imprévisibilité qui donne, selon lui, la 4ème dimension. Il construit souvent ses toiles à base de prismes triangulaires qui ont une de leurs faces fixée à la surface du tableau. Il peint les deux faces restantes de formes géométriques pour produire différents effets visuels changeant grâce l’angle de vision.
Agam admire la connexion entre forme, couleur et son. Il apprécie s'amuser avec la technologie, notamment avec son Tourne-disque à quatre bras, réalisé en 1962, ou son Sculpteaufeu en 1970, qui rappelle que Agam est proche des surréalistes.
Il utilise de la peinture, ainsi que des structures métalliques en forme d’éventail, de l’acier inoxydable aux formes variables, des bruits, la lumière, l'eau, le temps. Agam considère ce dernier comme un réel matériel de travail. C’est le concept de « quatrième dimension »: l’œuvre est perçue dans l’espace par rapport aux capacités visuelles temporelle de la personne qui observe.
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